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Les Moulins de la Gartempe
  • En Vienne 86


  • Email pour corrections, modification: emile@fauvet.nom.fr


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Gartempe Haute-Vienne Vienne
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Moulin de la Pérotière ou de chez Valentin, Lathus Saint-Rémy 118,3
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Moulin de la Barlotière r.g. Moulin du Cluzeau r.d. 119,3
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Moulin Chez Briez r.g. Moulin de l’Age r.d. 120,1
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Moulin de l’Age r.d. 120,1
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Moulin à blé de Chez Bobin, puis Chez Briez 120,1
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Moulin à blé de Chez Bobin, puis Chez Briez 120,1
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Moulin à blé de Chez Bobin, puis Chez Briez photo 2008120,1
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Moulin du Ris ou Ry (ruiné) 120,7
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Moulin du Ris ou Ry (ruiné) 120,7
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Moulin Ouzilly 121,3
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Moulin Ouzilly 121,3
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Moulin Ouzilly 121,3
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Moulin Ouzilly 121,3
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Pont chez Ragon
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Le Roc d’Enfer
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Barrage du Roc d’Enfer
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LE BARRAGE DU CHATELARD
http://www.lathus-saint-remy.fr/page.php?id=92
  • Le 23 février 1910, l’administration des ponts et chaussées (police des eaux) autorise
    Monsieur Fernand Tribot, banquier à Montmorillon, à construire un barrage au châtelard ( commune de Lathus) pour les besoins d’une usine hydroélectrique.
    En 1912, il céde le droit acquis à Monsieur Chauvaud et compagnie, constructeur demeurant 23 quai des Queyries à Bordeaux. Ce dernier souhaite remplacer la maçonnerie de moellons granitiques prévue au centre du barrage par du béton de chaux hydraulique et cailloux de roches granitique, car il ne trouve pas assez de maçons dans le pays pour faire le barrage dans l’été 1913.
    La hauteur du barrage serait de 9,50m, au dessus du lit, la largeur au niveau de la retenue de 2,5m . La largeur à la base serait de 9,5 m. Parement vertical en amont.
    Le parement aval serait formé d’un profil parabolique à la partie supérieure et d’une ligne polygonale à la partie inférieure. Il serait fondé sur le granite qui constitue le lit de la rivière, encastré dans la roche de 50 cm au moins sur toute sa longueur et de 1 m à ses extrémités.
  • On sait que les travaux sont commencés le 19 octobre 1912…
  • Le 21 octobre, l’administration adresse une mise en demeure de faire les travaux, à défaut elle retire son autorisation ( AD86-7S46)
    Les travaux retardés à la demande de Monsieur Chauvaud ( pour étude des propriétés du béton) ne sont pas achevés lorsque la guerre 1914-18 survient. Ils ne reprendront jamais, ce qui sauve le site des « Portes D’enfer ».
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LE BARRAGE DU CHATELARD
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Barrage Les Moulins
Moulin Moreau 124,8
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Les Roches (rnes) Le Banchereau
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Moulin de la Prade 126,8
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Moulin de la Prade 126,8
  • RIGAUD Louis, Eugène (o14/11/1851 au Moulin de la Prade à SAULGE) est cultivateur, propriétaire puis marchand de vins. Il se marie à METAYER Marie Radégonde, en 1879 à PLAISANCE. Il est maire de cette commune de 1896 à 1904. Il réside dans le bourg, rue Sainte Catherine.
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Moulin du Pont ou du Gué du Pont 127,3
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Moulin de Guillerand ou Gilleronde 127,9
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Moulin de Lenest 129,4
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Moulin de Lenest 129,4
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Moulin de Lenest 129,4
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Moulin de Saulgé 131,6
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Pont Saulgé 132,5
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Moulin de la Brasserie 135,8
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Moulin de la Brasserie Saulgé 135,8
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Moulin de la Brasserie Saulgé 135,8
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Moulin de la Brasserie 135,8
  • La papeterie du Moulinet des Mâts, près de Montmorillon, fonctionne depuis 1602 sur la Gartempe, sous l'autorité des Augustins de la Maison-Dieu. En 1843, de nouveaux propriétaires commencent des travaux pour créer une brasserie. Ce qui fait l'originalité de la démarche c'est qu'elle s'appuie sur des données naturelles très favorables alliant quantité et qualité de l'eau (plan cadastral de 1897).
  • La fabrication de la bière nécessite de l'eau de bonne qualité et en consomme beaucoup : il faut 10 hl d'eau pour faire 1 hl de bière. D'autre part, l'eau doit présenter de bonnes qualités organoleptiques afin de donner un goût agréable à la bière. Le débit de la Gartempe doit être suffisant pour produire l'énergie nécessaire. Le site choisi offre tout cela.
  • L'eau qui percole au travers des assises de calcaires dolomitiques à l'aplomb du site sont limpides « bicarbonatées calciques et magnésiennes, légèrement fluorées, de dureté et de minéralisation moyenne », particulièrement bien adaptées à cette fabrication. Ces eaux sont rassemblées dans un bassin ou « étanche ». La quantité d'eau indispensable au brassage provient de deux sources achetées par la famille Duvigier.
  • L'eau de la Gartempe sert à produire de l'énergie . L'entreprise connaît une expansion très rapide puisqu'au bout de 3 ans, 5 814 hl de bière sont produits et que 20 ouvriers travaillent dans la fabrique.
  • Nous n'évoquerons pas tous les aspects de cette activité, symbole d'une réussite familiale, mais nous voulons souligner deux caractères originaux de cet établissement.
  • C'est d'abord l'accord parfait entre l'héritage d'une tradition de mise en valeur d'un site à partir de l'eau et le choix d'une production adaptée au contexte économique de l'époque. D'autre part, c'est l'expression d'une conception sociale de l'entreprise. Monsieur Pillot, propriétaire en 1879, conçoit un système de relations sociales basées sur une hiérarchisation et des avantages en nature. La brasserie occupe une place importante dans la vie locale et le renom de la bière de Montmorillon dépasse les limites régionales, mais faute d'avoir modernisé les installations en temps utiles, l'entreprise périclite et cesse toute activité en 1962.
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Moulin de la Brasserie Saulgé 135,8
http://www.culture.gouv.fr/public/mistral/merimee_fr?ACTION=RETROUVER&FIELD_1=LOCA&VALUE_1=VIENNE&FIELD_6=ETUD&VALUE_6=patrimoine%20industriel&NUMBER=43&GRP=1&REQ=%28%28VIENNE%29%20%3aLOCA%20%20ET%20%20%28%28patrimoine%20industriel%29%20%3aETUD%20%29%29&USRNAME=nobody&USRPWD=4%24%2534P&SPEC=9&SYN=1&IMLY=&MAX1=1&MAX2=1&MAX3=100&DOM=Tous
  • Deux moulins à papier, construits au 17e siècle, sont transformés en brasserie et en minoterie en 1843 pour les frères Duvigier ; une malterie est édifiée en 1855 (porte la date) ; la brasserie est vendue par saisie judiciaire à Jules Butaud en 1858 ; en 1879, l'affaire est reprise par son fils, Etienne Butaud, son gendre, Maurice Pillot, et deux amis, Eugène et Gustave Renaud ; en 1889, de grands travaux sont entrepris par Etienne Butaud, comme l'installation de turbines hydrauliques, celle de machines à glace et la construction de caves pour la fermentation basse, nouvelle technique de fabrication ; la direction de l'entreprise passe en 1899 à Henri Baugier, aide à partir de 1906 et 1908 par Maurice Sotias et Georges Pillot, puis en 1922 par son fils, Jacques Baugier ; les bureaux sont édifiés en 1929 (date portée) , alors que cesse l'activité de la minoterie ; en 1931, la production annuelle est de 30 000 hl de bières vendues dans un rayon de 200 km, à quoi s'ajoutent des eaux gazeuses, limonades et sodas ; l'eau utilisée provient d'une source voisine, les orges sont récoltés en France, tandis que les houblons sont importés de Tchécoslovaquie ; la tonnellerie est réalisée sur place ; la malterie ferme en 1936 entraînant une diminution du personnel ; un atelier d'embouteillage est construit vers 1938 ; depuis la cessation d'activité en 1963, les bâtiments sont pour certains désaffectés, d'autres transformés en logements, d'autres encore abritent une activité industrielle.
    En 1889 : machine frigorifique Raoul Pictet ; 1 roue hydraulique au rez-de-chaussée de la malterie ; en 1895 : 6 chaudières (4 pour la fabrication, 2 pour l'eau chaude) ; machine fixe de 25 cv remplacée en 1901 par une machine de 100 cv.
    en 1931, environ 50 ouvriers
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Moulin des Dames (rive g.) Saulgé 136,9
Grands moulins (rive d.) Montmorillon 136,9
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Moulin des Dames (rive g.) 136,9
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Moulin des Dames (rive g.) Saulgé 136,9
http://www.culture.gouv.fr/public/mistral/merimee_fr?ACTION=RETROUVER&FIELD_1=LOCA&VALUE_1=VIENNE&FIELD_6=ETUD&VALUE_6=patrimoine%20industriel&NUMBER=40&GRP=1&REQ=%28%28VIENNE%29%20%3aLOCA%20%20ET%20%20%28%28patrimoine%20industriel%29%20%3aETUD%20%29%29&USRNAME=nobody&USRPWD=4%24%2534P&SPEC=9&SYN=1&IMLY=&MAX1=1&MAX2=1&MAX3=100&DOM=Tous
  • Moulin à blé et à foulon, bâti à l'emplacement d'un moulin à papier à 3 roues hydrauliques édifié en 1603 et autorisé par Henri IV, reconstruit après un incendie en 1857. En 1881, Léonard Piaux installe dans le moulin à foulon une carderie, une teinturerie et une filature. A côté sont regroupés une scierie, un moulin à tan et à blé. La filature cesse son activité en 1909. En 1918, c'est un moulin appartenant à M. Beaugier et Magnon, qui est transformé par la suite en minoterie. Puis, une blanchisserie industrielle tenue par René Mahieu s'y installe en 1927, équipée de machines pour le lavage, le repassage et le glaçage du linge provenant des villes environnantes, de Poitiers et de Châtellerault. L'ancien moulin à foulon du côté est est alors partiellement reconstruit. Puis, s'y effectue l'ensachage de la farine fabriquée aux grands moulins de Montmorillon. Toute activité industrielle cesse en 1969, et les bâtiments sont soit démolis, soit convertis en logement.
    En 1931, la blanchisserie dispose d'une force hydraulique de 30 ch suppléée par l'électricité en cas de basses eaux.
    En 1931, la blanchisserie emploie 40 personnes description Premier atelier de fabrication de 1857 à 1 étage carré couvert d'un toit à longs pans à croupe polygonale en ardoise ; bâtiment de réception du linge, en rez-de-chaussée, couvert d'un toit à longs pans à croupes en ardoise ; ancien moulin à foulon reconstruit dans les années 1930 à 3 étages carrés couvert d'un toit à longs pans en ardoise
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Grands moulins (rive d.) Montmorillon 136,9
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Grands moulins (rive d.) 136,9
http://www.culture.gouv.fr/public/mistral/merimee_fr?ACTION=RETROUVER&FIELD_1=LOCA&VALUE_1=VIENNE&FIELD_6=ETUD&VALUE_6=patrimoine%20industriel&NUMBER=86&GRP=0&REQ=%28%28VIENNE%29%20%3aLOCA%20%20ET%20%20%28%28patrimoine%20industriel%29%20%3aETUD%20%29%29&USRNAME=nobody&USRPWD=4%24%2534P&SPEC=9&SYN=1&IMLY=&MAX1=1&MAX2=1&MAX3=100&DOM=Tous
  • Moulin à blé reconstruit probablement au 18e siècle sur l'emplacement d'un ancien moulin à blé dont subsiste le logement patronal et qui dépendait de la Maison Dieu de Montmorillon, équipé de 4 roues hydrauliques. Le moulin est en ruines en 1898, et en 1912 est construite une minoterie quelques dizaines de mètres plus loin, sur l'emplacement d'un ancien bâtiment à usage de grange et d'écurie, pour Alain de Montplanet. Entre 1939 et 1946, le vieux moulin produit de l'électricité pour faire fonctionner la minoterie, mais un moteur thermique supplée cette énergie en cas de basses eaux. En 1946, le gérant, Jean Morillon, rachète l'usine, fait surélever la minoterie pour l'installation d'un plansichter et l'agrandit. A partir de 1946, l'électricité est achetée, et l'on fabrique de l'alimentation pour bétail dans l'ancien moulin. La farine, produite sous l'appellation Fina-Flora, est commercialisée en Touraine, Gironde et Côte d'Azur par camions. L'empaquetage est assuré dans 4 ateliers sur place, et un autre au moulin des Dames. L'usine cesse de fonctionner en 1967 pour cause de difficultés financières, et le matériel est vendu.
    Dans les années 1950, 40 personnes sont employées
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Moulin de la scierie 138
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Moulin de la scierie 138
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Montmorillon 138,7
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Moulin Gâtebourse/Séjour 140,8
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Moulin Gâtebourse/Séjour 140,8
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Moulin Gâtebourse/Séjour 140,8
  • Monsieur de Brettes transforme le moulin de Gâtebourse pour produire de l’électricité afin d’alimenter sa beurrerie modèle du Roc-St-Louis


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Moulin Gâtebourse 140,8
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Moulin à Blé, Minoterie, Usine de Matériel Agricole, Cidrerie dit Moulin de Fossé Blanche http://www.culture.gouv.fr/public/mistral/merimee_fr?ACTION=RETROUVER&FIELD_1=LOCA&VALUE_1=VIENNE&FIELD_6=ETUD&VALUE_6=patrimoine%20industriel&NUMBER=85&GRP=0&REQ=%28%28VIENNE%29%20%3aLOCA%20%20ET%20%20%28%28patrimoine%20industriel%29%20%3aETUD%20%29%29&USRNAME=nobody&USRPWD=4%24%2534P&SPEC=9&SYN=1&IMLY=&MAX1=1&MAX2=1&MAX3=100&DOM=Tous
  • Moulin à blé reconstruit vers 1850 pour les frères Duvigier de Mirabal. Après la faillite de ces derniers, leurs biens sont vendus aux enchères en 1858, dont pour ce site un atelier d'ajustage de menuiserie, deux forges et la minoterie nouvellement construite, rachetés par Hippolyte Maréchaux. Ce dernier construit en 1860 une usine de construction de machines agricoles (un manège locomobile et un laveur de racines sont présentés à l'exposition universelle de 1867) et sans doute le logement patronal. L'usine est rachetée en 1897 par René Mahieu, qui fait construire un magasin industriel en 1899. En 1902, une scierie mécanique pour le bois de construction, mue par une machine à vapeur, s'installe dans un ancien hangar. Georges Tribot devient propriétaire de l'établissement en 1908. En 1911, un chemin de fer Decauville dessert l'usine. Le site est vendu en 1920 pour servir de dépôt à l'Alimentation du Poitou ; puis, en 1940, une cidrerie est édifiée sur l'emplacement des ateliers. En 1960, après l'achat du site par Fernand Lebon, les locaux sont désaffectés, et ne subsistent aujourd'hui que le moulin à blé, le logement patronal, la cidrerie et des magasins.
    Le mécanisme du moulin à blé était mu par deux roues verticales vendues vers 1960.
    En 1861 : 40 ouvriers
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Moulin de Concise 141,6
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Moulin de Coupé ou du Prunier 143,2
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Moulin de Coupé ou du Prunier 143,2
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Moulin de Coupé ou du Prunier 143,2
http://www.tourisme-montmorillon.fr/pindray.php
  • Au pied du château, le long de la Gartempe, se trouve le moulin de Pruniers, déjà mentionné en 1579. Endommagé par le temps et les crues, il fut l’objet de premières réparations au XVIème s. par le seigneur de Pruniers, puis d’une reconstruction partielle en 1857. Le mécanisme, la roue à aubes, le moteur et quatre paires de meules ont été conservés.
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Moulin de la Roche 149,5
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Moulin de la Roche 149,5
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Moulin de l’Epine 154
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Moulin de l’Epine 154
  • II date du XVе siècle (1486) et a toujours produit de la farine. En 1874 son équipement consiste en deux roues à aube et deux paires de meules.
  • En 1995 ce moulin produit l'électricité nécessaire à son activité. Deux turbines ont été installées : une « Francis » en 1950 (25 cv), une autre en 1980 (100 cv) qui consomme 2 000 litres d'eau par seconde, pour une production de 22 kW. Le système fonctionne 20 heure sur 24 (sauf les samedis et dimanches). Le moulin peut, en période de débit moyen, assurer sa consommation d'électricité mais lors d'étiages ou de trop forts débits il doit acheter le complément à EDF.
  • Les blés proviennent de la Vienne et de l'Indre pour une production de farine de 50000qx par an. Ce qui fait la particularité de cette minoterie c'est l'organisation de la production. Ce moulin est associé à celui de Vrassac (Béthines) qui appartient à la même famille de meuniers : la mouture se fait à Antigny alors que le conditionnement est réalisé à Béthines où a été également installé un laboratoire d'analyses de farine. Huit personnes sont employées sur les deux sites.
  • La commercialisation s'étend dans la région ainsi que dans les pays d'Outre-Mer, Guyane, Martinique, Guadeloupe. Les sous-produits ne sont pas traités ici mais envoyé à Châtellerault et Ingrandes, dans des usines de fabrication d'aliments du bétail.
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Moulin de Saint Savin 158,6
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Moulin de Saint Savin 158,6
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Moulin de Nalliers 163,2
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Moulin de Nalliers 163,2
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Moulin/Usine Électrique 1932 163,2
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Moulin/Usine Électrique 1932 163,2
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 Château de la Guitière
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Moulin Château Roche à Gué 171,6
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Barrage St Pierre de Maillé 173,5
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Moulin St Pierre de Maillé 173,5
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Moulin St Pierre de Maillé 173,5
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Moulin St Pierre de Maillé 173,5
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 Moulin de Vicq 179,4
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Moulin de Vicq 179,4
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Moulin de Vicq 179,4
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Vicq sur Gartempe Pont suspendu
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Moulin Merci Dieu 186,9
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La Roche Posay sur la Creuse
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Bibliographie
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Bibliographie
  • Fernand Gaudy: Les Moulins du bassin de la Gartempe XXXe Festival de Bellac 1983
  • René Brun: Le canton de Châteauponsac et … ses derniers moulins
  • Bases Architecture et Patrimoine
  •       Les bases de données documentaires mises en oeuvre par la direction de l'Architecture et du Patrimoine, sont administrées par la sous direction des études, de la documentation et de l'Inventaire. Elles sont enrichies par les travaux de l'Inventaire général du patrimoine culturel, des Monuments historiques, et de la médiathèque de l'Architecture et du Patrimoine.
  •       http://www.culture.gouv.fr/public/mistral/merimee_fr?